L’espèce de fougère qui squatte en bas me saoule, mais bon, je veux pas tout ratiboiser juste pour ça.

Chelou, l’éclairage du soir. On dirait que je suis dans un studio prévu pour simuler un alunissage et créer un complot.

Cette table est en fin de vie depuis des années déjà, haha.

Je ne sais plus ce que j’essayais de faire, mais je sais que ce n’était pas ça.

J’ai traité deux des trois photos de cette plante avec, sur un second écran, un concert d’Amenra en presque-direct. C’était pas déconnant.

On dirait que la vidéo a été passée en « privée » depuis, tiens.

Ça fait un peu redondant mais en vrai j’ai développé ça avec des approches vaguement différentes je crois. Tant pis s’il n’y a que moi qui le vois, haha.

Pas parfait mais après le mec commençait à se retourner et j’ai pris peur.

La lumière est assez cracra…

Il serait possible d’en tirer davantage à coups d’IA, de filtres ésotériques et de retouches, mais je reste en mode « juste le raw et des paramètres pour en tirer, de manière réitérable, un JPG reflétant mon ressenti ».

J’avais presque envie d’en faire des versions recadrées, en profitant de la latitude supplémentaire que ça aurait donné niveau contraste. Il y a comme plusieurs photos en une, là. Mais sur cette version redimensionnée c’est peut-être moins flagrant.

Justement, celle-là, je commençais à la cadrer très étroitement, puis je me suis dit que ça n’aurait pas de valeur ajoutée par rapport aux autres, et je suis parti sur du noir et blanc (un peu teinté) pour changer.

C’est quasiment devenu une de mes réalisations préférées.

Pas fou mais traitée il y a des plombes et pas le cœur de la balancer.

Ça a le mérite d’être assez représentatif de ce que je vois quand je me balade pas trop loin.

Je sais pas si c’est normal que je trouve ça marrant.

Nos caves et tout, quoi. Pareil : je suis peut-être un peu bizarre, là.

J’aime bien, j’sais pas. Pis si je ne la mettais pas dans cette série je n’allais jamais rien en faire.

Ça fait bien genre dépression, ça, tiens.

Si, si, il y a de la couleur, hein.

J’avais pas fait gaffe, mais on dirait que j’ai réutilisé le même concept à huit mois d’intervalle… Enfin… En vrai, la première, je ne sais plus comment elle est goupillée. Moins glauque, là, par contre.