Ma mère et moi, on sort souvent des tomates ou courgettes congelées. Ou les deux. C’est rigolo. Après, faut leur mettre des mandales pour oblitérer le bloc.

J’suis une quiche pour photographier les zoziaux. C’est pas net du tout mais faudra s’en contenter pour le moment.

Retour à mes premiers délires : les trucs délabrés. J’aime le concept de la brouette – truc qui en général reste bien ancré au sol – qui reste en suspension sur un résidu d’étage chelou.

« Prenez soin de vos plantes ! » LOL

Des roseaux ou j’n’sais pas quoi. Leur densité crée un bordel visuel à partir de trois fois rien. Pis ça me rappelle https://cultoflunaofsweden.bandcamp.com/album/vertikal, mais je suis probablement sacrément biaisé et piné.

J’pensais pouvoir en tirer mieux que ça, mais bon.

J’pense que ça mène à un puits ou une connerie dans ce style. C’est dans un genre de grande butte.

Rescapée de ma médiocrité. Bon, là aussi, je pense qu’il y avait matière pour faire mieux, mais déjà, genre, j’en chiais pour faire une vue rase car l’objectif touchait la souche d’arbre.

https://blood-music.bandcamp.com/track/iv

Les trucs agricoles m’intriguent souvent. Bon, ça donne aussi souvent des trucs moches après examen plus poussé, mais là ça passait.

J’regardais vite fait par une fenêtre d’une grande maison badaboumbandonnée, et BAM, un vieux Jésus dans des trucs délabrés. Conditions loin d’être optimales (pis je faisais une marche avec un groupe qui commençait à se barrer), mais ça reste acceptable.

Lors du traitement, je me suis dit « Si je me fous pas du Metatron Omega maintenant, je m’en foutrai jamais ». Très bon choix.

GRENOUILLE COPAIN

La lumière est un poil violente mais bon.

Tain je m’étais niqué les genoux tant je m’étais accroupi près de ce bassin ce jour-là. Pis des passants se demandaient ce que je foutais en me voyant avancer à deux à l’heure sur la pointe des pieds.

On dirait des amis hachés mais ça devait être du seitan ou sais pu quoi. Pis probablement d’autres trucs car le coup de la pizza en mode « blé au blé » je préfère éviter.

Je vois ça à chaque fois ou presque que je me décrasse à vélo en fin de journée de télétravail. J’aime bien. Même si photo bof. C’était un gros casse-tête de faire honneur à tous les plans et j’ai dû faire de grosses concessions (après quelques pétages de durits).

Mon père dans une coquille de noix, mais tout est d’origine : je n’ai rien amené ou déplacé.

J’ai mis plusieurs semaines à piger au moins en partie ce qui me perturbait avec cette maison et ces nuages : on dirait des vieux machins miniatures artificiels genre ce qu’on voit dans les parcs style Mini World.

Le basilic frais, c’est la vie.

Les trucs que je trouve stylés chez les planplantes ne sont souvent pas les trucs stylés « standards ».

Tain je n’ai remarqué la foule de bestioles qu’à la fin du traitement, limite. C’est une véritable ville, là-dedans !

« Pourquoi je préfère faire du télétravail plutôt que d’étouffer à Lyon », épisode 46.

Il y avait une tripotée d’espèces de barbes-de-papa pyramidales comme ça.

Certains des trucs pris dedans me font penser à du poivre.

La fleur décrépie en mode « J’vous nique, j’ai quand même une certaine classe ».

Encore un truc devant lequel je passe souvent. Mais c’est un peu loin donc la qualité est naze.

Un coup j’me suis pas mal approché, par la droite. C’est assez perché, avec de la végétation qui squatte de manière un peu bordélique, mais c’est encore un lieu très actif j’ai l’impression.

J’sais plus trop ce que j’avais foutu, là. Genre on avait de la levure boulangère à passer donc j’en ai mis une chiée et la pâtàdzadza a fait bwoow et y a ça qui restait collé j’sais pu où. Ça fait un réseau organique fascinant et chelou.

Et : oui, je mets de plus en plus souvent des graines de pavot dans ma pâtàdzadza.

Pas ouf. Mais l’avocat sur les dzadzas (ajouté a posteriori, hein ; me les foutez pas au four !), c’est cool.

Pige toujours pas pourquoi des gens font des gros yeux quand je leur parle de mettre des noix de cajou sur des dzadzas. Pff.

Chez parents. Ça rend mieux en vrai. J’aime bien bouffer debout en regardant vers là.

Quand j’étais marmot j’étais fasciné par ce bac bizarre doté d’un robinet fonctionnel mais pratiquement jamais utilisé.

Ça fait un peu doublon avec l’autre truc avec un ciel à la con (quasiment dans la même direction, en plus), pis je suis mauvais pour ce style de photos, mais bon.

Assez typique de mon coin natal. Y compris pour ce qui est des vignes qui se font arracher peu à peu. Quand le soleil commence à décliner j’aime beaucoup la tronche de ces collines.

J’étais en train de piocheter des mauvaises herbes au milieu des plantes roromatiques quand un badaboumpillon copain a poppé. J’ai demandé à ma mère de ramener l’appareil. Bon, entre temps, le badaboumpillon s’est foutu à un endroit moins stylé (il était à un moment perché sur une dent d’un petit râteau), mais c’est déjà cool qu’il soit resté en ma compagnie pendant… j’sais pas, genre quinze ou vingt minutes.

Je me suis allongé sur le carrelage dans un couloir et j’ai pris des photos d’une porte.

https://theocean.bandcamp.com/track/firmament

Fin juillet, et pourtant ça fait genre truc frisquet nordique chelou.

https://colddimensions.bandcamp.com/album/autumn

Elle trimballait ça et s’est vautrée du haut d’une marche, puis a gigoté un moment comme ça, la tête à l’envers, refusant de lâcher prise.

Truc qui décore sur une étagère.

Pas méga net mais conditions pas oufs.

Putain elle m’a cassé les Antilles cette photo. Soit les tomates étaient ternes soit elles me pétaient la rétine. Pis je voulais qu’on puisse observer leur fragilité et les crevasses et tout, quoi, pas que ça ressemble à des OGM de guedin non plus.

Tain l’odeur quand on se balade au milieu de rangs de plants de tomates…

https://trnaband.bandcamp.com/album/earthcult

Boarf, un peu naze. C’était limite mieux à la base, quand c’était tout sombre (ça avait un côté mystérieux), mais j’vais quand même pas poster des vieux machins où on distingue que dalle, quoi.